Quels qu’en soient les mécanismes, le traitement du prédiabète améliore le pronostic cardiovasculaire à long terme

L’étude DPP (Diabetes Prevention Program) a évalué le risque de diabète chez des patients qui avaient tous à l’inclusion un prédiabète (glycémie à jeun 1,00–1,25 g/L et/ou 1,40-1,99 g/L 2 h après prise orale de 75 g de glucose). Ainsi, ceux qui avaient, même temporairement, réussi à redevenir normoglycémiques ont une réduction de 56% du risque de développer ultérieurement un diabète.